Ici se rencontrent le manche et l’outil.
Capturée dans le verre, cette lame tranchante devient inoffensive et semble flotter dans le verre transparent.
C’est dans son atelier de la place des Vosges que Théophile Caille a fait ses armes et maltraite le verre, sans pitié, il le chauffe, le fond, le refroidit, le baigne dans l’acide, le taille, le grave, le tord, l’associe au cuivre, à l’or et à l’argent.